Zoom sur Tony ASTORGA

Bonjour Tony

Comme l’ensemble des entraîneurs, nous t’avons rencontré pour connaître un peu mieux ton parcours.

 

Tout d’abord où es tu né ? 

T.A: Je suis né à Chalon sur Saône et j’ai 36 ans.

 

Ton travail à part le basket?

T.A : Je suis professeur d’économie et mon statut de contractuel fait que j’enseigne sur le département de Saône et Loire.

 

Comment es tu  venu au basket?

T.A: En regardant la télévision (JO de BARCELONE ) ce qui m’a donné envie d’essayer.

 

Raconte-nous ton parcours basket.

T.A : Tout d’abord les personnes me connaissent comme étant l’entraîneur des cadettes France, fonction que j’occupe depuis 4 années, mais j’ai débuté le basket dans la catégorie poussin durant deux années au CBC.

Je suis ensuite arrivé à l’ELAN CHALON pour jouer en Benjamins Région, minimes Région, cadets Région, pré-nationale.

J’ai arrêté de jouer à 30 ans sur blessure.

Tout en jouant depuis 2007, j’ai commencé a coacher des équipes benjamines et cadettes Région et ensuite seniors département.

En 2014, l’Elan m’a proposé de remplacer Maxime Pacquaut appelé sur d’autres fonctions et de reprendre les U18 filles France.

Je me suis formé pour obtenir les diplômes DEJEB et DEJEPS en 2017.

 

Et à part le basket, parle nous de tes passions, de tes goûts musicaux, tes voyages…?

T.A: Et bien à part le basket, je n’ai pas beaucoup de temps à côté, nous avons 7 à 8 entraînements  par semaine et les déplacements du week-end, nous amènent à nous rendre assez loin.

Pour tout vous dire le basket, c’est une passion qui me prend beaucoup de temps.

Par contre, j’aime beaucoup les voyages , je suis parti 2 années en Angleterre, 6 mois en Espagne, et également 6 mois en Thaïlande.

Je parle couramment l’Espagnol et l’Anglais  et adore le sport en général.

 

Raconte nous ton plus beau souvenir :

T.A: Ce qui me vient à l’esprit, ma première année de seniors, car je jouais avec des amis Max, Guillaume et j’ai également créée des liens d’amitié avec Pascal Bourgeois, Fabrice Edom. C’était du super basket et nous jouions pour le plaisir.

Mais également un très bon souvenir de mon  voyage en Thaïlande pour exercer une mission semi-humanitaire (me demander les explications…).

 

Qui aurais-tu voulu être ?

T.A : Vivre du coaching avec une équipe professionnelle mais tout en gardant la notion de plaisir.

 

Comment te vois-tu dans 15 ans ?

T.A: A vrai dire je ne sais pas trop, je n’aime pas trop me projeter dans l’avenir surtout aussi lointain.

 

Merci beaucoup et à très bientôt.